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Un article de La Tribune du 7 avril passe en revue les différentes possibilités.
Voici quelques éléments utiles pour considérer le potentiel des filières et aborder des projets dans ce domaine.
AVEC THEDAO, LA BLOCKCHAIN PASSE DE LA CRYPTO-MONNAIE À LA CRYPTO-EQUITY
Plus de 100 millions d’euros levés en 2 semaines par un fonds d’investissement décentralisé fonctionnant sur Blockchain, ça donne le vertige.
EDF va t-elle soutenir l'autoconsommation des particuliers ?
C'est ce que laisse entendre un article de La Tribune du 3 juin.
Une véritable révolution chez cet adepte du centralisme énergétique, qui a longtemps préféré racheter à un prix excessif cette énergie, plutôt que d'en favoriser la consommation locale.
En se débarrassant de ces milliers de producteurs sans intérêt EDF fait une bonne opération, et sa filiale EDF ENR va monter un business.
Des PME pourront profiter de cette ouverture pour offrir des packages autoconsommation, du PV et des batteries, mais aussi des panneaux solaires thermiques avec accumulateur de chaleur, avec un générateur ORC, des batteries électriques aussi bien sur.
Voici un marché qui pourrait s’étendre au petit habitat collectif, aux immeubles commerciaux, aux centres commerciaux, aux bâtiments industriels.
A suivre. A lire sur La Tribune
XENOTHERA, jeune startup biotech nantaise qui développe un immunosuppresseur innovant, a bouclé une 2e levée de fonds de 2 millions d’euros. AMBA fait partie des réseaux investisseurs.
Lever des fonds pour avancer. Créée par une équipe médicale spécialiste des greffes et un vétérinaire mondialement reconnu dans le domaine du clonage, la société Xenothera vient d’achever un second tour de table après une 1re levée de fonds de 810k€ fin 2014. XENOTHERA a obtenu des avancées majeures sur l’intérêt de son produit pour les patients greffés (Journal of Clinical Investigation, 2015) et sur son développement pharmaceutique.
Un article très clair sur l'innovation, et son financement en France.
62 dispositifs recensés, on aimerait avoir la liste.
A retenir, l'innovation, ce n'est pas que de la R&D, tout ce qui peut accroitre la part de marché en fait partie.
le CIR, les subventions, c'est bien, mais attention à ces quasi fonds propres qui sont des prêts, même à taux réduit, et remboursement différé, il faudra les rembourser, et le chemin peut être long avant de mettre un pied significatif sur le marché et de produire des revenus (CA et marge) suffisants.
FrenchWeb publie sur l'évolution de la fintech en France de 2015 à 2016.
Yuflow arrive au 26 ème rang du classement
C'est à Venissieux que Boostheat va industrialiser sa chaudière à compression thermique.
Un accord en vue avec Bosch dans le cadre d'une réindustrialisation de site.
Un exemple à suivre pour d'autres start up en puissance de développement industriel.
L'IOT SHOW ASIA 2016 vient de se tenir à Singapour. Maddyness par la plume de Céline Delacharlerie, nous invite à une reflexion sur l'évolution de l'Usine et des conditioins de son intégration dans les sociétés développées. L'exemple de Singapour est plein d'enseignements, mais il suppose une volonté de partager, d'agir en meute.
L’équipe-projet Defrost d’Inria est la seule équipe en France à plancher sur les robots mous et déformables. Dirigée par Christian Duriez, elle développe les logiciels qui permettront de concevoir, simuler et contrôler les mouvements de ces robots du futur, directement inspirés de la nature.
En explorant un voie de diversification pour rentabiliser ses fermes de serveurs, Amazon a créé un nouveau métier.
Lire l'article de Challenges sur la conférence de Werner Vogels au CES de Las Vegas.
Selon le baromètre de valorisation des PME françaises non cotées publié par Absoluce, un groupement national d'audit et de conseil, une PME non cotée affiche une valeur de ses capitaux propres autour de 9,1 fois son résultat net. C'est bien moins qu'une société cotée.
Aprés les plateformes, fintech et autres applications digitales, les investisseurs et les grosses entreprises regardent maintenant vers les innovations de rupture à base de sciences et de technologies, des domaines certes déjà exploitées mais dont le temps de gestation est plus long.
Cela est bien connu dans le domaine de la médecine et de la pharmacie, ou ce temps est de l'ordre de 10 ans minimum.
Dans celui des techno sciences, le temps de production de prototypes, de "pilotes", la recherche de partenaires dans les domaines d'applications sont également longs, ce qui péjore le temps d'eclosion des innovations.
Sans parler de la versatilité du contexte économiques avec des "aides" qui peuvent se révéler de véritables poisons. Cf photovoltaique, biomasse, etc...
A lire sur la Tribune du 6 avril 2016
Au moment de sortir des pépinières et des incubateurs, nombre de startups se retrouvent confrontées à des problématiques immobilières complexes. Comment trouver des locaux adaptés quand on ne sait pas quel sera son effectif dans un an ?
Comment convaincre un bailleur privé quand son modèle économique n'est pas stabilisé ?
De nouvelles initiatives voient petit à petit le jour à Bordeaux, présentées dans le 3e volet de l'enquête de La Tribube en 8 parties sur les réalités du numérique à Bordeaux.
La Tribune publie le 11/01 une interview de Xavier Dalloz, expert en stratégie digitale, qui trace la transformation du CES depuis 2000. Il donne son sentiment sur ce que sera notre relation avec notre environnement de vie à travers les objets/médias technologiques.
Un éclairage utile pour les créateurs et les investisseurs.
Mounir Mahjoubi commence un tour de France des start-ups de 3 mois. Il va enquêter sur les difficultés rencontrées par les start-ups en activité, et sur l'adaptation de l'écosystème aux besoins de la création et du développement d'entreprises.
Sa première étape l'a conduit à recevoir les Fintechs, ces jeunes pousses qui bousculent la banque d'investissement, de prêt, et l'assurance.
Quelques formules relevées dans la publication de La Tribune que vous êtes invités à lire, les questions abordées débordent le cadre des Fintechs, comme la problématique des sorties :
les organismes d'agrément banques et assurances : " des maisons de retraite pour banquiers ou assureurs, "
" En France, on ne lutte pas vraiment contre la fraude, on fait juste de la conformité " pour illustrer le vécu des obligations imposées aux entreprises."
" Nous sommes une forêt de bonzaïs, alors qu'il faudrait une forêt de chênes ! "
" Les startups sont le Botox des grands groupes ! "
On peut être privé et d'intérêt collectif ! déclare olivier Millet le Président de France Invest, ex AFIC.
L'association change de nom pour affirmer son attachement à la France et son désir de donner une autre image des investisseurs en capital dans les entreprises.
" Le private equity français a levé plus de 80 milliards d'euros en dix ans, plus de 15 milliards l'an dernier. Notre dynamique devrait nous conduire à dépasser les 20 milliards d'ici à 2020 et ainsi devancer le capital-risque britannique.
Notre empreinte économique, c'est plus de 200 milliards d'euros de chiffre d'affaires, l'équivalent de 20% du CAC 40 ! C'est aussi 1,4 million d'emplois, plus de 8% de l'emploi privé français, ce n'est pas anecdotique. Les 300 fonds membres de « France Invest » emploient entre 4.000 et 5.000 personnes en direct et font travailler tout un écosystème de conseils, de banques, d'avocats à chaque transaction."
2017 moins de levées, mais plus importantes, des entreprises plus matûres, 1 à 2 ans, et 3 à 5 ans.
Le site de 6 000 m2 peut accueillir les artisans sur un espace "guichet unique", et abrite le nouveau CFA, qui n'a pas encore atteint sa pleine capacité. 130 "étudiants apprentis" se répartissent sur quatre plateaux techniques flambants neufs : pâtisserie, coiffure, esthétique et entretien. Le CFA affiche une capacité de 450 places.
Habitué du CES de Las Vegas Olivier Ezraty expert dans le suivi des innovations et des entreprises innovantes, nous livre ses constats, ses impressions, et ses conseils.
Oui, il y a beaucoup de start up françaises au CES, mais certaines n'ont rien à y faire. Elles devraient se regrouper par domaines.
La "bataille" que se livrent les régions françaises avec chacune ses poulains, est un frein à la lisibilité des avancées présentées, et des regroupements.
Les grandes entreprises, et les grands équipementiers français découvrent enfin l'importance d'être présents pour être visible, pour voir, et pour engager des partenariats.
La voiture de demain se prépare dans les tendances du CES, électrique, partagée, intelligente non seulement par l'autonomie, le "sans conducteur", mais aussi par le cocoonage des utilisateurs.
Les témoignages de plusieurs observateurs de la vie économique et sociale en Provence-Alpes-Cote d'Azur.
La Tribune du 7 février 2018 titre "L'industrie, les défis et l'innovation".
L'activité industrielles de la Région se porte bien, et est variée, industries, aéronautique, espace, parfums, réparation navale, numérique, etc.
Mais comment redresser l'image de ces industries présentées à tort comme moins attratives que les emplois purement tertiaires.
Réhabiliter l'enseignement technique, mais pour cela il faut convaincre le corps professoral pour qui hors des filières généraliste point de salut, les parents et les étudiants. Comment en faisant encore plus venir les entreprises dans les établissements d'enseignement, techniques, oui, mais pourquoi pas les autres aussi ? en accentuant les échanges, stages, coopérations, partenariats, visites, contributions, etc.
Lancée le 27 novembre 2013 par Fleur Pellerin, alors ministre déléguée en charge des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique, la Mission French Tech se déploie en métropoles, hubs et programmes publics et privés au succès variable.
La Tribune du 25 mai 2018 fait le point.
Lire aussi "L'évolution de la French Tech vers davantage d'autonomie est inévitable" (Terra Nova).
La finance est entrée au cœur du cycle de vie des startup en France, capitaux abondants, aides de l'État, structures d'accueil nombreuses; oui le contexte de la création et du développement de nouvelles entreprises innovantes a changé, et parait devoir durer.
Alors gonflette ? sans aucun doute, mais pas d'effet en cascade à redouter si l'on sélectionne bien ses cibles d'investissements, et si on établit un dialogue constructif pour aider les jeunes pousses dans leurs premières années. Les BA apportent là une vrai valeur ajoutée.
" Avec une présence qui ne se dément pas - 376 startups et 420 entreprises tout type confondu - l'Hexagone démontre que le CES demeure toujours une valeur sûre en terme de business.
Un business qui n'est d'ailleurs pas à l'identique pour toutes. S'il semblerait naturel de venir au Nevada pour "tester" le marché américain, beaucoup viennent aussi pour tester le marché tout court ou l'appétence des investisseurs. "
écrit Laurence Bottero dans La Tribune du 8/01/2019.
"Alors, bonne ou mauvaise année pour les levées de fonds ? La question devient presque rhétorique, tant l’écosystème startup est habitué aux records. Et 2018 n’a pas failli à la tradition, avec un nouveau record à la clé. Selon le décompte que nous tenons toutes les semaines dans notre MaddyMoney, les startups françaises ont levé un total de 3,203 milliards d’euros l’année dernière, explosant le précédent record de 2,3 milliards établi en 2017. En revanche, et c’est là que réside la véritable surprise, le nombre d’opérations a, lui… baissé. L’écosystème s’est contenté de 657 tours de table (dont 612 dont le montant a été dévoilé), contre 689 l’an dernier. "
écrit Géraldine Russel dans Maddyness en ce début d'année.
Commentaire AMBAPACA : nous avions bien l'impression que la suppression de l'ISF n'avait pas d'influence sur la motivation des vrais passionnés de l'acccompagnement des entreprises innovantes. Elle aura sans doute permis de se débarrasser des opportunistes, pas vraiment investis dans la démarche de BA.